Évolution rapide des travaux : nettoyage, haie sèche, cabanon et préparation du terrain pour les futurs aménagements.
🌿 🌲 Un miracle en préparation autour de la haie sèche
Aujourd’hui, j’ai vraiment eu l’impression qu’un petit miracle se préparait autour de ma haie sèche. Dans cette partie du jardin que je transforme depuis des mois, tout avance à une vitesse que je n’aurais pas imaginée.
Dès les premiers instants, on comprend que les travaux vont vite, très vite, et qu’ils annoncent un bouleversement complet du terrain.
Dans la zone du potager, ainsi que sur tout le passage qui y mène, des tas de bois s’entassent encore. Cependant, tout devra disparaître : bois mort, branches plus ou moins grosses, et même la végétation envahissante.
Cette première étape est essentielle, car la haie sèche ne doit pas seulement protéger le terrain, elle doit aussi donner un sentiment d’ordre et de continuité. Et, à vrai dire, pour l’instant, c’est encore un chantier monumental.
En même temps, un autre secteur doit être repris : celui qui part de la réserve de bois en contrebas et remonte jusqu’à l’entrée de la partie cabanon.
Là-bas, rien n’est simple, car il faut trier, nettoyer, dégager, et réfléchir à ce qui servira plus tard.
Comme on dit souvent :
“Un jardin avance toujours là où la volonté met les mains.”
🪵 🧱 Une haie sèche indispensable avant la reconstruction
En progressant vers l’entrée du cabanon, je réalise combien la haie sèche sera indispensable pour structurer et sécuriser cette zone.
D’ailleurs, il reste encore des déchets, des vieilles planches, des morceaux de métal, et un amas de matériaux que je dois absolument trier.
Heureusement, une partie servira pour le futur cabanon, une autre pour les supports du potager, et peut-être même pour le système de récupération d’eau de pluie que j’aimerais mettre en place.
Ensuite, il faudra prolonger la haie sèche que j’avais commencé du côté du verger. En la ramenant jusqu’ici, elle protégera le terrain contre les cervidés, tout en délimitant clairement l’espace.
Ce n’est que le début, mais déjà, la structure commence à prendre forme.
Peu à peu, les pièces du puzzle se mettent en place.
“Une haie sèche n’est jamais seulement un mur : c’est une histoire écrite en bois.”
🌾 🚪 Fermeture de l’ancienne entrée près du cabanon
L’ancienne entrée menant au cabanon n’existe plus : je l’ai condamnée pour sécuriser davantage la zone.
Même si le projet final n’est pas encore figé, je veux que cet endroit devienne un espace organisé, propre et surtout protégé.
Entre ce futur second verger, les petits potagers qui se glissent entre les arbres, et peut-être un poulailler plus tard, il est indispensable d’éviter que la faune ne s’y aventure trop facilement.
Aujourd’hui, j’ai vraiment été surpris par ma vitesse d’exécution. Sans forcer, tout s’est enchaîné naturellement, comme si le terrain lui-même me donnait un coup de main.
Bien sûr, la haie sèche n’en est qu’à son premier stade : il faudra l’épaissir, la consolider, et surtout laisser les ronces s’en emparer.
Avec un peu de chance, le houx s’ajoutera au décor, et la protection n’en sera que plus efficace.
🌱 🌳 Gros débroussaillage et renfort de la haie sèche
Le débroussaillage devant le cabanon a été un des moments les plus impressionnants de la journée.
Shazam en personne aurait pu débarquer tant tout avançait vite !
Ce que j’avais prévu pour deux jours a été bouclé en quelques heures, sans précipitation et sans effort démesuré.
C’est le genre de journée où le terrain envoie un signal clair :
“Continue, tu es dans le bon sens.”
Toute la végétation dense a reculé. Les passages sont clairs, l’air circule, la lumière entre, et la haie sèche délimite déjà le futur tracé du chantier.
Là où se trouvaient autrefois des fouillis de ronces et des amas de branches, on voit maintenant des lignes propres, et presque un début d’organisation naturelle.
Dans le même élan, j’ai regroupé le bois exploitable. Il servira bientôt pour renforcer la haie sèche, ériger des poteaux temporaires ou marquer certains espaces.
Rien n’est perdu : tout se transforme, et tout sert.
🌤️ 🌼 Une pause méritée après tant d’avancées
Finalement, cette journée intense méritait une pause.
Le 1er novembre s’y prêtait bien : un jour calme, un jour où le jardin semble retenir son souffle.
En observant la haie sèche, les chemins nettoyés et la zone du cabanon totalement dégagée, je réalise l’ampleur du travail accompli.
Le miracle dont je parlais au départ, il est là :
le terrain se transforme à vue d’œil, et le jardin prend une nouvelle dimension.
Ce qui paraissait décousu devient cohérent, et ce qui semblait impraticable devient accessible.
La suite sera tout aussi passionnante : consolider la haie sèche, construire, trier, et préparer les futures installations.
Un travail long, mais motivant, et surtout gratifiant.
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