🐾 Complices de jardin, Louna et Pepsy accompagnent chaque chantier du verger entre aide, bêtises et tendresse.
Dans un verger, il y a des arbres, des oiseaux, du vent, parfois du bruit de machines… et puis, il y a Louna et Pepsy.
Ces deux chiennes, inséparables compagnes de Capitaine Jack, connaissent chaque recoin du terrain, chaque odeur, chaque cachette.
Elles font partie du décor, mais surtout, de l’histoire.
🐾 1. Deux compagnes fidèles au cœur du verger
Avant même d’entendre le moteur d’une débroussailleuse ou le claquement d’une branche coupée, on voit souvent deux silhouettes courir joyeusement entre les herbes hautes.
Louna, la plus vive, trottine en éclaireuse. Pepsy, plus posée, observe avec sagesse.
Elles savent quand le travail commence.
Dès que Capitaine Jack enfile ses gants ou prend ses outils, les deux chiennes s’animent, remuent la queue, prêtes à le suivre. Le jardin, c’est un peu leur royaume : elles en connaissent chaque odeur, chaque sentier, chaque racine à moitié sortie du sol.
Et surtout, elles aiment ce terrain.
Elles y ont trouvé leur place, leur rythme, leur bonheur simple. Ce n’est pas juste un lieu de balade : c’est leur monde, celui qu’elles défendent et dont elles surveillent chaque mouvement.
🌿 2. Un terrain adopté et chéri
Le verger, elles l’ont littéralement adopté.
Dès que la porte s’ouvre, les deux foncent dehors, impatientes de retrouver leurs repères.
Pepsy file sous son grand sapin, son trône végétal, d’où elle domine tout le terrain. Là, elle s’installe, les oreilles dressées, la truffe au vent, et observe chaque oiseau, chaque bruit suspect.
C’est la gardienne du domaine, calme, stable, presque méditative.
Louna, elle, a une autre approche : plus curieuse, plus joueuse.
Elle suit chaque pas de Capitaine Jack, parfois si près qu’on croirait qu’elle lit dans ses pensées. Une branche tombe ? Elle accourt. Un outil bouge ? Elle observe. Et si quelque chose l’intrigue, elle tourne autour, renifle, comprend — et attend le geste suivant.
Travailler avec Louna, c’est avoir un assistant silencieux, attentif, presque télépathique.
🪓 3. Sécurité avant tout : quand les chiennes restent à l’écart
Mais il y a des jours où la prudence prime sur la compagnie.
Les chantiers du verger ne sont pas tous sans risque : débroussaillage, tronçonneuse, taille de gros arbres… Dans ces moments-là, Louna et Pepsy restent à distance.
Parfois, elles observent depuis la barrière, intriguées, frustrées même de ne pas participer.
Capitaine Jack le sait : un accident est vite arrivé.
Un éclat de bois, un fil de débroussailleuse, un tronc qui tombe — il vaut mieux garder ses compagnons à quatre pattes hors du champ de travail.
Alors, selon la tâche, il adapte :
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S’il s’agit d’un simple nettoyage ou d’un entretien léger, les chiennes peuvent rester, à condition qu’elles soient calmes et visibles.
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En revanche, pour les travaux plus lourds (bûcheronnage, élagage, tronçonnage), elles attendent à la maison ou dans un coin sécurisé du terrain.
Louna comprend vite la consigne : un regard suffit.
Pepsy, plus indépendante, reste souvent couchée sous son sapin, comme si elle disait : “Je veille, mais je ne gêne pas.”
🌱 4. Les bêtises de Louna et Pepsy
Aussi sages soient-elles, elles ont leurs moments de folie.
Et au jardin, cela se traduit souvent par… des trous. Des énormes trous.
Pas un petit creux pour enterrer un os, non — de véritables cratères canins, parfois en plein milieu d’un futur passage de tondeuse.
Il y a eu des jours où Capitaine Jack a dû sortir la brouette, la pelle, et reboucher un à un ces pièges improvisés.
Car bientôt, le terrain accueillera des engins thermiques : une tondeuse autotractée, voire un tracteur tondeuse autoporté.
Autant dire qu’un sol truffé de cavités n’est pas compatible avec cette nouvelle étape du verger !
Malgré tout, difficile de leur en vouloir.
Quand Louna creuse, c’est souvent par jeu, par instinct ou par envie de sentir la fraîcheur de la terre.
Et Pepsy, parfois, ne fait que superviser, assise non loin, un air faussement innocent dans le regard.
Ces bêtises, finalement, font partie de la vie du lieu.
Elles rappellent que ce verger n’est pas un espace figé, mais un écosystème vivant, partagé entre humains, animaux et nature.
🐶 5. Pepsy, la sentinelle du sapin
Sous le grand sapin du terrain, Pepsy règne.
C’est son poste d’observation, son refuge, sa terrasse ombragée.
De là, elle voit tout : le va-et-vient des oiseaux, le passage des écureuils, les gestes de Capitaine Jack au loin.
Pepsy n’a pas besoin de courir partout. Elle observe et protège.
C’est la sagesse tranquille d’un chien qui a trouvé sa place.
Parfois, quand le soleil baisse, elle se lève, fait quelques tours, renifle l’air, puis revient s’asseoir — comme pour s’assurer que tout est en ordre.
On sent dans son attitude une forme de respect du lieu, presque une conscience du territoire.
Elle ne joue pas avec le verger : elle le garde.
🐕🦺 6. Louna, l’ombre de Capitaine Jack
Louna, c’est l’opposé : énergie pure, complicité totale.
Elle suit chaque geste de son maître, souvent à quelques mètres, attentive au moindre signe.
Quand Capitaine Jack change d’outil, elle le précède. Quand il s’arrête, elle s’assoit. Quand il se baisse, elle l’observe, prête à bouger si besoin.
Cette proximité crée une harmonie rare.
Travailler avec Louna, c’est un peu comme jardiner à deux, sans parler.
Un regard, un geste, et tout s’enchaîne naturellement.
Il y a dans cette relation quelque chose d’instinctif, d’ancien, de profondément animal.
Et au-delà de l’aide pratique, il y a le plaisir de la présence : savoir que quelqu’un est là, fidèle, silencieux, bienveillant.
Dans les longues journées de taille ou de coupe, cette présence rend le travail plus doux, plus humain.
🌳 7. Les chiens et le rythme du verger
Les animaux comprennent le rythme des saisons mieux que quiconque.
Ils sentent le froid qui approche, la chaleur qui monte, la pluie avant qu’elle ne tombe.
Louna et Pepsy, dans le verger, deviennent de véritables baromètres vivants.
Quand les travaux reprennent, elles sont là.
Quand vient le repos, elles se couchent dans l’herbe, profitant simplement du moment.
Elles ne cherchent pas à “faire”, elles savent “être”.
Et c’est peut-être la plus belle leçon qu’elles donnent : dans un verger, la patience et la sérénité sont les meilleurs outils.
🌅 8. Un verger vivant, une famille élargie
Au fil des saisons, Capitaine Jack, Louna et Pepsy forment une équipe.
Le verger grandit, se transforme, et elles grandissent avec lui.
Elles ne sont pas seulement des spectatrices : elles participent, chacune à leur manière, à l’entretien et à l’esprit du lieu.
Le verger n’est plus seulement un terrain de travail, c’est un espace de vie partagé, où la nature, les animaux et l’humain cohabitent en équilibre.
Quand la journée s’achève, et que le soleil glisse derrière les arbres, on voit souvent les deux chiennes s’étendre dans l’herbe, paisibles, tandis que Capitaine Jack range ses outils.
C’est dans ce silence du soir que le verger prend tout son sens : un lieu où tout respire ensemble.
🌺 Je conclurai que : Le verger, un lien entre l’homme, la nature et l’animal
Louna et Pepsy ne sont pas de simples chiens de compagnie : elles sont les gardiennes du verger, les complices du quotidien, les témoins du travail et des saisons.
Grâce à elles, chaque journée au jardin devient plus vivante, plus joyeuse, plus humaine.
Et quand elles trottinent fièrement sur les sentiers, la tête haute et la truffe levée, on comprend qu’elles aussi, à leur manière, aiment ce verger — leur terrain de jeu, leur refuge, leur maison.
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