Tempête Ciaran : Capitaine Jack nettoie le terrain de Douarnenez à la tronçonneuse STIHL, entre bois, pluie et nature retrouvée.
🌳 Reprendre la main sur le terrain après Ciaran
Depuis le passage de la tempête Ciaran, le terrain du haut ressemblait à un vrai champ de bataille. Des branches partout, des arbres déracinés, et des tas de bois qui attendaient d’être triés.
J’attendais la livraison de ma nouvelle tronçonneuse STIHL MS 162 C pour m’y remettre sérieusement. L’ancienne, la FUXTEC, fonctionne très bien, mais je la garde plutôt pour l’abattage d’arbres plus massifs. Pour un travail de nettoyage comme celui-là, il faut quelque chose de plus maniable.
« Chaque tempête laisse son désordre, mais aussi l’occasion de remettre les choses à leur place. »
— Capitaine Jack
⚒️ La STIHL MS 162 C : petite mais redoutable
Dès la première coupe, cette tronçonneuse m’a bluffé. Légère, précise et surtout très économique en carburant.
Un seul plein d’essence pour tout un après-midi de tronçonnage, c’est largement suffisant.
Je travaille à mon rythme, deux à trois heures maximum dans la journée, le temps de bien avancer sans me fatiguer inutilement. Ce n’est pas une course, mais un travail de patience et de soin.
🌲 Trier, couper, débiter : la routine du lendemain de tempête
La seconde journée a commencé avec le même rituel : vérifier la chaîne, remplir le réservoir, et attaquer les troncs tombés sur la partie gauche du terrain.
Toutes les branches ont été triées, et celles qui étaient trop épaisses mises de côté pour le débitage.
Sur la droite, un autre arbre s’était couché, lui aussi victime du vent. J’ai commencé à le découper tranquillement, morceau par morceau.
« Le bois tombé n’est jamais perdu : il chauffe deux fois, quand on le coupe et quand on le brûle. »
— Capitaine Jack
🔥 Un mal pour un bien : le bois pour les barbecues
Finalement, cette tempête Ciaran, aussi violente soit-elle, apporte un petit côté positif : un beau stock de bois pour les prochains barbecues.
Les sections les plus fines serviront à démarrer le feu, les morceaux moyens pour la cuisson, et les plus gros seront mis de côté pour sécher.
En quelque sorte, la nature m’aide à préparer les saisons à venir.
🌦️ Quand la pluie s’invite dans le chantier
La météo bretonne n’a rien perdu de son caractère. À peine quelques heures de travail, voilà que la pluie s’invite à la fête.
Impossible de continuer à débiter sous l’averse, alors je remballe le matériel. Il faudra revenir quand le ciel sera plus clément.
Ce n’est pas grave : ici, on apprend à composer avec les éléments, à écouter la météo comme on lit une carte.
🌳 Direction le verger pour la fin de journée
En fin d’après-midi, après avoir nettoyé la zone principale, je suis allé faire un tour du côté du verger.
Quelques branches à couper, un peu de nettoyage aussi, mais rien de grave.
La nature reprend vite ses droits quand on lui donne un coup de main. Et il faut bien dire qu’avec les outils adaptés, le travail avance presque tout seul.
🌿 Entretenir le terrain, c’est aussi entretenir la tête
Tronçonner, nettoyer, ranger, ça vide l’esprit.
Il y a quelque chose de profondément apaisant dans le fait de redonner forme à un terrain bousculé.
Chaque pierre remise, chaque tronc déplacé, c’est un peu de sérénité retrouvée.
La tempête a fait du désordre, certes, mais elle a aussi permis de remettre les choses en ordre — dans le jardin comme dans la tête.
🧱 Le travail du sol : prochaine étape
Une fois le bois trié et les troncs dégagés, il faudra nettoyer plus finement le terrain.
Ramasser les petites branches, tasser la terre, égaliser les zones creusées par les racines.
Ce sera un autre chantier, mais je préfère y aller doucement.
La patience, c’est la clé quand on travaille dehors : on fait avec le temps, pas contre lui.
🍂 Ce que la tempête a appris
La tempête Ciaran a laissé des marques, c’est certain, mais elle a aussi rappelé une vérité simple : la nature reste la plus forte.
On croit parfois la maîtriser, et elle nous montre en une nuit que tout peut changer.
Mais à chaque chute d’arbre, il y a une leçon : celle de la résilience.
🌤️ Préparer les jours meilleurs
Le bois est rangé, la tronçonneuse nettoyée, et le terrain retrouve peu à peu son visage.
Bientôt, il sera prêt à accueillir de nouveaux projets : un coin barbecue, un banc de repos, peut-être même une nouvelle haie.
Chaque saison apporte son lot de travaux, mais aussi de satisfactions.
🔧 Les bons outils pour de grands résultats
La tronçonneuse STIHL MS 162 C a largement fait ses preuves. Légère, fiable et facile à entretenir, elle est devenue un vrai compagnon de chantier.
Je garde la FUXTEC pour les arbres plus gros, mais pour l’entretien quotidien, cette STIHL est parfaite.
🌅 Pour finir, un terrain apaisé après la tempête
Pour finir, ce chantier m’aura pris du temps, de l’énergie, mais aussi offert une belle récompense : un terrain plus propre, plus clair, et surtout prêt pour la suite.
Les arbres tombés par la tempête ne sont plus un obstacle, mais une ressource.
Et comme souvent, la nature finit toujours par remercier ceux qui travaillent avec elle, pas contre elle.
« Après la tempête, le calme a toujours le goût du travail accompli. »
— Capitaine Jack
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